De l’île de Lobos à L’île de la Gomera

Classé dans : Notre voyage | 6

On s’est arreté à l’île de Lobos, superficie 4,58 km2. Plus de phoques depuis longtemps mais on a quand même plus de 800 touristes qui y debarquent chaque jour. (Nous même touristes en 2017 avec les garçons.) Mais honnêtement c’est intenable. Nous attendrons 19h pour poser le pied à terre et partirons le lendemain pour l’ile de Ferteventura ou nous avons eu une navigation sympa en longeant toute la côte.

Puis à un moment le vent tombe à 4 noeuds et se réveille à 32 noeuds avec une mer formée. La navigation sous ces iles sont souvent pénibles selon le relief. Après avoir reglé les voiles en fonctions de l’humeur des éléments il faut rationnaliser les ressentis. Dans ces conditions, on sait que l’on a un bateau solide, bien construit et bien entretenu .

Au mouillage devant la ville de Morro Jable, rencontre sympa avec l’équipage du voilier Icare II avec qui nous avons passé un après midi d’échange , nous n’avons pas pu nous empêcher de faire tester la percusion d’un gilet automatique à Evelyne. On espère les revoir à Noël aux Antilles devant une langouste grillée.

Mais après trois nuit sans trop dormir (concerts ou roulis infernal) nous naviguons jusqu’à l’ile Gran Canaria . Deux mouillages pour nous apercevoir que c’est au sud de l’ile que se trouve la majorité des appartements et hôtels. Nous n’avons fait aucun effort de visite sachant que c’est au centre qu’il y a de belles randonnées et que nous partons le lendemain. Pareil pour l’ile de Tenerife, pas un pied à terre.

Nous sommes arrivée au port de San Sebastian à l’ile de la Gomera après une navigation bizarre : 3h de moteur car 4 noeuds de vents et une heure de voile avec 27 noeuds et mer agitée. Le soir un concert de raggae pour nous détendre. Nous sommes ici pour 15 jours. Au programme, quelques bricolages comme notre antenne VHF en haut du mat qui s’est dévissée, rando, raquettes et fromage blanc.

Tout va bien à bord, j’ai mangé en trois repas mon premier thon rose. Le bateau ne bouge plus et le port est assez calme ce qui est très déstabilisant pour mon cerveau. Objetif de la journée : Essayer de trouver Yann Quenet du voilier « Baluchon » qui est au port.

Bien à vous et si vous vous demandez ce qui me manque c’est de vos nouvelles!

6 Responses

  1. Olivier

    Je me souviens d’un mouillage à Morro Jable absolument intenable à cause de la houle… merveilleux de revivre tout ça grâce à vous ! Bonnes balades ! On vous embrasse.

  2. hubert

    coucou à vous, toujours des belles photos et les explications qui vont avec c’est sympa à lire
    en attente bon vent et bonne mer, phrase facile et souvent utiliser, je dirait plus facilement « continuez à prendre du bon temps et revenez heureux de ce que vous aurez fait »

  3. Jacky Jourdan

    Magnifiques photos des Canaries.
    Le vent trop calme ou trop fort avec la mer qui bouge bien.
    Je vois que tout va bien et vous éviter le monde dans les centres trop touristiques.
    Continuez à vous faire plaisir.
    Ici il fait beau, ce matin moins chaud, on respire mieux.
    Bisous, à bientôt.

  4. Oger

    Merci pour toutes ces belles photos 🤩
    Avec Marie nous sommes allés parfaire notre bronzage et avons vu des gros poissons que nous n’avons pas su identifier sans doute des requins d’eau douce ( eau du Rhône) 🤣
    Ce soir un peu de pluie…
    Bonne soirée gros bisous 😘 Anne Marie

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.